Elam Jay signe son grand retour avec “SAHRA DYALNA”
À l’occasion du 50ᵉ anniversaire de la Marche verte et dans la foulée du vote historique du Conseil de sécurité des Nations Unies validant le plan d’autonomie marocain pour le Sahara, Elam Jay dévoile “Sahra Dyalna”, premier extrait de son nouvel EP, marquant le grand retour d’un artiste qui a toujours su allier innovation, émotion et engagement.
Sorti le 6 novembre, “Sahra Dyalna” n’est pas seulement une chanson : c’est une œuvre symbolique, à la croisée de l’histoire et de la modernité. Elle célèbre un moment historique pour le Maroc.
À travers “Sahra Dyalna”, Elam Jay redonne voix à l’esprit de la Marche Verte et à l’unité territoriale du royaume, en lui offrant une interprétation contemporaine, universelle et profondément marocaine. Cette chanson inaugure un nouvel univers artistique : celui d’un Elam Jay intemporel, voyageant à travers les époques pour raconter l’histoire, les luttes et les espoirs de tout un peuple.
Le morceau a pour but de rétablir les choses incomprises, de rappeler que le conflit n’est pas entre les nations ni entre les hommes, et qu’il ne s’agit pas d’une animosité entre peuples, mais avant tout d’un malentendu politique et historique. Avec cette chanson, Elam Jay invite à l’unité, la dignité et la réconciliation, en mettant la lumière sur ce qui relie plus que sur ce qui divise.
Mais au-delà de l’unité territoriale, “Sahra Dyalna” célèbre aussi la force et le positionnement affirmé du Maroc en Afrique et sur la scène mondiale. C’est le témoignage d’un pays qui commence à bâtir son avenir avec ses propres mains, une nouvelle ère où la jeunesse marocaine, à travers sa propre marche, trace un chemin vers de nouveaux horizons.
“Ce projet est un lien vivant entre notre histoire profonde et notre évolution contemporaine. J’ai voulu raconter le parcours qui nous a façonnés, célébrer notre jeunesse porteuse d’espoir, et révéler la transformation d’un pays en mouvement. ‘Sahra Dyalna’ est avant tout une déclaration d’amour à notre nation, à sa richesse culturelle et à sa force collective.”
Abdelkader El Fatouaki
